La cage
La cage joue un rôle central dans l’histoire de La Corrivaux... Disparue depuis le XIXe siècle, la fameuse cage de métal dans laquelle le corps de Marie-Joseph Corrivaux fut exhibé à l’intersection de la Pointe-Lévy pendant 40 jours suivant son exécution, soit le 18 avril 1763, a été retrouvée par hasard au Peabody Essex Museum de Salem par des membres de la Société d’histoire régionale de Lévis. En 2013, le Musée de la civilisation et la Société d’histoire régionale de Lévis ont rapatrié la cage pour l’étudier et vérifier l’authenticité. Après un long processus de recherche, le gibet de la sorcière a été authentifié en octobre 2015. Elle fait maintenant partie des artéfacts dans la collection nationale du Québec. Le comité organisateur du spectacle théâtral "Sur les traces de La Corrivaux" en collaboration avec la municipalité de Saint-Vallier et le Musée de la civilisation de Québec est particulièrement fier d’annoncer qu'une reproduction à l'identique cage, a été réalisée par l'artiste Jean Lefebvre, forgeron de Saint-Raphaël de Bellechasse. Elle sera à la forge en présence du forgeron le samedi 26 août de 13h à 18h. Cette œuvre d'art unique deviendra un objet de collection pour la municipalité de Saint-Vallier. Encore une fois, les membres du comité sont convaincus que l’exposition de la cage, ou plutôt le gibet, favorisera la venue de visiteurs et de touristes à Saint-Vallier. Un autre attrait touristique porteur pour Saint-Vallier et la région de Bellechasse.